Les Palancas Negras angolais,battus d’entrée le jeu par le Cameroun,1-3, et tenus courageusement en échec la RD du Congo, portant réduite à 10 dès la 19ème minute,se trouvent dos au mur face au Togo, l’autre mondialiste déjà éliminé,en dernier match qualificatif du groupe-B-.
Les hommes de Oliveira Gonçalves savent que leur avenir ne les appartient plus. Ils doivent désormais tablés sur une hypothétique contre performance des Simbas congolais qui croisent le fer, à la même heure au Caire, avec les Lions Indomptables du Cameroun, mathématiquement déjà qualifiés pour les quarts de finale.
Ce duel à distance paraît fort logiquement en défaveur de l’Angola qui doit,en plus,battre les Eperviers togolais, bien qu’en perte de confiance, mais qui n’ont pas encore rendu l’âme,par une différence d’au moins 3 buts.
Un challenge difficile à relever pour les angolais, eu égard à leur manque cruant et presque maladif d’efficacité et leur incapacité d’alterner le jeu.
Par contre, la République Démocratique du Congo qui a, bien entendu, la faveur des pronostic, peut compter sur une équipe soudée à bloc et capable de résister aux assauts des hommes du portugais, Artur Jorge, déjà qualifiés pour le prochain tour et qui pourront se contenter d’un résultat minimum, en attendant les prochaines échéances.
L’entraîneur camerounais peut décider de laisser quelques éléments essentiels au repos en faisant tourner ses effectifs. Toutes ces données réunies peuvent être bénéfiques pour les poulains du français, Claude Leroy, déterminés à poursuivre l’aventure égyptienne.
Pour l’Angola, l’histoire semble se répéter. À condition qu’il saisisse cette infime chance que les circonstances leur accordent. À bon entendeur salut