Le sélectionneur, il est vrai, a surpris une nouvelle fois tout son monde. Il aligne Adel Chedly en quatrième pivot – récupérateur. Avec Santos et Jaziri seuls en pointe. Ce dispositif ressemble comme deux gouttes d'eaux à la tactique ultra – défensive.
A la reprise, Kanu s'infiltra sur la partie gauche et se dirigera vers le but, fut conduite par Hagui et Badar. Le penalty fut tiré deux fois par Okacha. Ce but allait encourager les tunisiens à se jeter toutes leurs forces pour égaliser. Et sur une attaque de Jaziri, la défense assez lente du Nigeria a arrêté irrégulièrement l'attaquant tunisien. Le penalty fut impérativement transformé par Badra a un but. Ce dernier fut le héros et le malheureux parce qu'il sera le grand absent de la finale.
Les prolongations n'on rien donné. Il a fallu recourir aux tirs aux buts.
Seuls ombre au tableau. La multiplication des efforts. Dans quel état Jaziri et ses partenaires sont ils sortis de cette prolongation d'affilée ?
Pourront ils assurer cette dépenses nerveuse encore longtemps.