| Apres 43 ans d’absence au niveau africain, Le Bénin s’est qualifié pour la première fois pour une phase finale de coupe d’Afrique. Pour cela, les écureuils ont du réaliser un parcours historique, tenant, la dragée haute ou si vous préférez la noisette haute, à des équipes comme la Zambie, le Soudan ou la Tanzanie.
Le Bénin a commencé par atomiser la Tanzanie par 4 buts à 0, ont tenu en échec chez elle la Zambie 1 but partout, essuyé une cuisante défaite 3-0 à Khartoum, rendu la monnaie de leur pièce aux Soudanais à Cotonou lors du match retour avec une victoire part 3 à 0, réalisé le hold-up 1-0 en Tanzanie pour terminer en apothéose le 6 Juillet 2003 en battant la ZAMBIE par 3-0.
Pour réaliser cet exploit, les écureuils béninois se sont basés sur une ossature de joueurs locaux renforcés par des professionnels tels que Laurent Djaffo du club ecossais d’Aberdeen, Massa Latoundji milieu du club allemand de l’Energie Cotbus ou Omar Tchomogo le buteur de Guingamp. A 25 ans, ce dernier vient d'exploser au niveau international à l'occasion de cette campagne historique, en terminant meilleur buteur des éliminatoires avec 5 buts.
La liesse populaire qui a gagné tout un peuple au soir du 6 juillet suite à la qualification à la CAN a ouvert l’appétit de tous les béninois. Un premier rêve est réalisé. Il reste à maintenir le cap et à se qualifier pour la Coupe du monde et le coupe d’Afrique de 2006. Tout le monde y croit a telle enseigne que dès la descente d’avion à l’aéroport de Cotonou les visiteurs sont accueillis par une large banderole avec cette inscription : « aidez les écureils en payant un timbre à 1000 F... C’est un acte pour aller loin ».
Pour sa participation à la CAN 2004, le Bénin se trouve dans la position agréable de celui qui n’a absolument rien à perdre. C’est normal diriez vous vu son statut de petit poucet du football africain. Mais rappelez vous, le petit poucet a finit par battre le méchant ogre.
Apres 43 ans d'absence au niveau africain, Le Bénin s'est qualifié pour la première fois pour une phase finale de coupe d'Afrique. Pour cela, les écureuils ont du réaliser un parcours historique, tenant, la dragée haute ou si vous préférez la noisette haute, à des équipes comme la Zambie, le Soudan ou la Tanzanie.
Le Bénin a commencé par atomiser la Tanzanie par 4 buts à 0, ont tenu en échec chez elle la Zambie 1 but partout, essuyé une cuisante défaite 3-0 à Khartoum, rendu la monnaie de leur pièce aux Soudanais à Cotonou lors du match retour avec une victoire part 3 à 0, réalisé le hold-up 1-0 en Tanzanie pour terminer en apothéose le 6 Juillet 2003 en battant la ZAMBIE par 3-0.
Pour réaliser cet exploit, les écureuils béninois se sont basés sur une ossature de joueurs locaux renforcés par des professionnels tels que Laurent Djaffo du club ecossais d'Aberdeen, Massa Latoundji milieu du club allemand de l'Energie Cotbus ou Omar Tchomogo le buteur de Guingamp. A 25 ans, ce dernier vient d'exploser au niveau international à l'occasion de cette campagne historique, en terminant meilleur buteur des éliminatoires avec 5 buts.
La liesse populaire qui a gagné tout un peuple au soir du 6 juillet suite à la qualification à la CAN a ouvert l'appétit de tous les béninois. Un premier rêve est réalisé. Il reste à maintenir le cap et à se qualifier pour la Coupe du monde et le coupe d'Afrique de 2006. Tout le monde y croit a telle enseigne que dès la descente d'avion à l'aéroport de Cotonou les visiteurs sont accueillis par une large banderole avec cette inscription : « aidez les écureils en payant un timbre à 1000 F... C'est un acte pour aller loin ».
Pour sa participation à la CAN 2004, le Bénin se trouve dans la position agréable de celui qui n'a absolument rien à perdre. C'est normal diriez vous vu son statut de petit poucet du football africain. Mais rappelez vous, le petit poucet a finit par battre le méchant ogre.
Le Benin jouera dans le groupe D de la CAN 2004 aux cote de l'Afrique du Sud, du Maroc et du Nigeria |
